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dragons colinNous sommes très heureux de vous inviter, ce jeudi 24 août à 19h30 au Quai 22, à la soirée de lancement du nouveau roman de Jérôme Colin, Les dragons (éditions Allary).

Les dragons sont jeunes, très jeunes, mais ont déjà vécu mille vies. Les dragons ont la peau dure mais ceux-ci sont blessés, cabossés, mutilés. Les dragons parlent peu, se retranchent, ils ont peur.

Un garçon de 15 ans, submergé par une colère indomptable, est interné pour quelques semaines dans un centre de soins pour adolescents. Et c’est là qu’il les rencontre, ces fameux dragons, ses sœurs et frères de douleur, ces êtres déformés par les violences de notre monde. C’est là aussi que survit Colette, qui doit quitter le centre

embrases2 platteauAinsi débute mon chant: par l'éveil du fleuve à la fissure de l'hiver.

C'est ainsi que Stefan Platteau ouvre une saga au souffle peu commun, Les sentiers des astres. Ce jeudi 22 juin à 19h30, nous vous invitons à explorer avec lui un monde où se rejoignent mythologie, fantasy, magie et fresque sociale, à l'occasion de la parution des Embrasés (Les Moutons Électriques).

Les embrasés regroupe trois récits qui sont comme autant de nouvelles pièces au puzzle du Sentier des astres. Un livre parfait pour découvrir cette saga qui, depuis 2014, renouvelle les codes de la fantasy francophone.

Le Namurois Stefan Platteau a passé une partie de son enfance en Inde

livre de daniel de stoopCe jeudi 15 juin à 19h30, nous avons l’immense plaisir de vous inviter à rencontrer Chris de Stoop à l’occasion de la parution du Livre de Daniel aux éditions Globe.

Sous ce titre à la résonance biblique, Chris de Stoop ouvre le dossier douloureux de l’assassinat d’un vieil homme de 84 ans, son oncle Daniel, tué dans sa ferme proche de Mouscron par une bande de jeunes désoeuvrés en quête d’un peu d’argent.

Au-delà du fait divers tragique et sordide, Chris de Stoop nous donne à lire un livre empreint de délicatesse et d’humanité. Par petites touches, par différents détours, il tente avant toute chose de rendre à Daniel Maroy la dignité que lui ont progressivement ôtée l’isolement, la vieillesse, l’appartenance assumée à un monde révolu. Daniel était "un invisible". Il est mort dans la ferme où il avait vu le jour et qu’il n’avait jamais quittée,